La Francophonie économique englobe une trentaine de pays sur l’ensemble du globe, dont 28 ayant intégré l’Alliance des patronats francophones. Un marché plus de 300 millions de locuteurs du français, 3e langue du monde des affaires
Le pays francophones comptent bâtir un ensemble communautaire qui tire profit des opportunités d’affaires offertes par la proximité linguistique, disons la « Francophonie économique », terme très utilisé lors de la CGECI Academy tenue les 27 et 28 octobre à Abidjan.
Le forum a vu la participation de 400 chefs d’entreprises et 25 organisations patronales de la grande famille francophone. Il coïncide avec la 2e Rencontre des entrepreneurs francophones (REF).
« La langue est un élément de facilitation des affaires. Il est plus facile de discuter d’un projet de signer un contrat quand on partage la même langue. La langue est u contraire un atout qui permettra aux pays francophones d’apporter davantage leur contribution à l’ensemble de dette constitution continentale de l’Afrique –ZLECAf », a souligné le président du patronat ivoirien, Jean-Marie Ackah, dans un échange avec la presse, au terme du Forum.
La Francophonie économique englobe une trentaine de pays sur l’ensemble du globe, dont 28 ayant intégré l’Alliance des patronats francophones. Un marché plus de 300 millions de locuteurs du français, 3e langue du monde des affaires, qui devrait passer à 700 million en 2035. Cet ensemble pèse pour 16% des parts du PIB mondial et 14% des ressources énergétiques et minières.
Un réseau de contact et d’échanges entre entrepreneurs francophones pour faire le contre poids dans un monde de plus en plus concurrentiel
Nous sommes dans un monde où les menaces sont plus fortes. Dans ce monde on a des champs d’opportunités importants pour certaines régions du monde, en particulier l’Afrique et au dela de l’Afrique, pour le monde francophone », a ajouté M. Ackah qui avait à ses côté le président du patronat français, Geoffroy Roux de Bezieux.
C.C.